Lundi dernier, 20 septembre 2010, le président congolais, Joseph Kabila, est venu pour la première fois en Angola s’entretenir avec son homologue angolais José Eduardo dos Santos.
A l’ordre du jour : deux sujet sensibles.
D’une part les expulsions menées par l’Angola sur les immigrés originaires de la RDC et d’autre part la délimitation des frontières maritimes entre les deux pays. Cette séparation est d’autant plus importante que sous cette « région des Grands Lacs » se cache des ressources pétrolières non négligeables (estimation : 4,3milliards de barils).
Aujourd’hui, l’espace maritime de la RDC permet à Kinshasa de produire 25 000 barils/jour.
Depuis 2009, la RDC a déposé une requête auprès des Nations Unis pour prétendre à un offshore de 4 000km², ce qu’évidement Luanda refuse. En attendant le verdict de la justice internationale, les deux pays ont signé un accord d’intérêt commun (signé en 2008) à savoir un partage à égalité.Pendant ce temps là, au Nigéria, on s’active sur les pompes, pipes et autres plate-formes pour remporter à l’arracher la première place de producteur de brut africain !
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